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Initiative spéciale « Un monde sans faim » (EWOH)

Mise en œuvre de l'initiative spéciale « Un monde sans faim » (EWOH) du Ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ)

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L’initiative spéciale « Un monde sans faim »

Le Programme Régional Dialogue Politique en Afrique de l’Ouest de la Konrad-Adenauer-Stiftung (KAS) met en œuvre l’initiative spéciale « Un monde sans faim » (EWOH) du Ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ), dans trois pays projet – au Bénin, au Togo et au Burkina Faso. L’objectif principal est de promouvoir l'accès des femmes au foncier selon les législations locales dont disposent ces pays, mais qui sont souvent paralysés quant à leur application. A travers l’initiative EWOH, nous contribuons à ce que les femmes des régions du projet ont un accès effectif et équitable aux ressources et à la terre.

 

Dans quelles régions sommes-nous actifs ?

Au Bénin, nous sommes actifs dans les provinces Atlantique et Zou, au Togo, dans les provinces de Maritime-Est et Kara et au Burkina Faso, dans les provinces de Seno, Gourma et Tapoa.

 

Avec qui nous travaillons ?

  • Représentants du gouvernement et des autorités aux niveaux national et local ;
  • Parlementaires et partis politiques ;
  • Organisations de la société civile ;
  • Autorités traditionnelles et religieuses ;
  • Les associations paysannes et agricoles ;
  • Représentants des médias (en tant que multiplicateurs) ;
  • Les femmes, particulièrement les veuves et les personnes seules/parents ;
  • Public.

 

Qu'est-ce qu'on fait ?

  • Sensibiliser et former des femmes et des autorités traditionnelles dans les régions rurales au contexte juridique codifié et traditionnel, aux droits civils, en particulier au droit foncier et au droit de la famille, à l'achat, à l'acquisition et à l'héritage de terres ;
  • Mettre en réseau les forums de dialogue avec les institutions nationales, les acteurs politiques, la société civile au niveau local et les autorités traditionnelles ;
  • Former sur le plaidoyer et le lobbying à tous les niveaux politiques ;
  • Sensibiliser le grand public, en partie dans la langue locale : débats radiophoniques et télévisés, spectacles de théâtre et bandes dessinées ;
  • Former des journalistes pour accroître et améliorer la couverture médiatique des questions liées aux droits fonciers des femmes et à la sécurité alimentaire ;
  • Développer des produits – p.ex. le magazine « Afrique foncier » - pour l’éducation publique.

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